Il est des élans si spontanés qu’on ne maîtrise pas jusqu’où cette énergie peut nous emmener !… Il suffit – presque – de se laisser porter par ce qui advient, et poursuivre le travail.
Le printemps des fenêtres est né ainsi, juste avant le début du confinement de mars. Les premières semaines m’ont offert un temps d’assignation à résidence d’écriture qui m’a permis de m’élancer dans une aventure un peu folle : publier chaque matin sur support numérique une photo et son poème.
Pourquoi créer la collection Mots & photos ? Parce que ce projet est un projet littéraire à part entière. Pour le Livre et toute sa beauté. Suivront Porte(s) plume qui s’écrit depuis, et une 3ème série en 2022. Frédéric Cartier-Lange a réalisé la maquette, mis en valeur les textes et les photos. Sans doute, d’autres complicités à venir…
Et l’aventure va continuer avec vous, sous toutes ses formes ! MC
« Ce que je propose, dans une relation directe avec le public, relève plutôt d’une économie du cadeau, où le prestige n’est pas du côté de celle ou celui qui possède mais qui donne. » Mai Hua Gignard – cinéaste. Revue Femmes ici et ailleurs #40 – nov-déc 2020
Un pari un peu fou !
Inspirée par les fenêtres qui chantent en Italie et le Printemps des Poètes ici, du 14 mars au 21 juin 2020, j’ai écrit chaque jour un poème à partir d’une photo de fenêtre.s. Comme une carte postale adressée à chacune et chacun dans nos isolements. Ma façon d’être présente et d’offrir de la beauté, modestement mais avec force.
Choisir une photo pour le reflet dans la vitre, un détail ou une vue d’ensemble, l’usure du temps sur le bois peint, le ciel si bleu et des volets fermés, l’ombre et la lumière…
J’écris avec le regard, et mes mots emmènent ailleurs encore. J’aime cela : initier des voyages intérieurs vers l’émotion intime de l’autre…
Merci pour sa bienveillance et la simplicité des choses à Frédéric Cartier-Lange qui a réalisé la maquette et le monogramme d’édition. Fière !
Merci à Mon édition ! pour la qualité du travail d’impression. Sur le papier, les mots et les photos sont comme sur du satin…
Merci à Jean-Yves Robichon qui a écrit la préface – J’aime beaucoup son recueil Des nouvelles de la photographie. « Le livre aurait pu s’appeler Là où se posent nos silences, car les photographies sont imprévisibles. »
ISBN : 979-10-699-6106-7
210 pages couleur sur papier bouffant 115g – couverture avec rabat
Commandes auprès de l’auteure : 20€ + frais de port.
« C’est une poésie qui emporte loin et les photos sont de toute beauté, comme la composition du livre, véritable objet d’art. La parenté avec Bonnard P. dont les peintures reproduisent tant les fenêtres me semble évidente… » Mme. Bernadette S. « Je viens de lire ton livre d’une seule traite. Et je suis rempli d’émotion. C’est encore plus beau que ce que je m’imaginais. J’en connaissais le contenu, que tu nous adressais par vagues, tout au long de ce long printemps dernier. Mais d’avoir l’ensemble entre les mains donne à ton œuvre une force incomparable. La mise en page en est très réussie. J’apprécie que la numérotation des jours soit discrète, à peine visible. Et que les titres donnés à chaque fenêtre ne puissent être lus qu’au début et à la fin, au revers de la couverture. Cela permet à l’imagination du lecteur de pouvoir rêver plus librement. Je suis vraiment sous le charme. Un grand bravo à partager avec Frédéric. Sois fière d’en être l’auteure. » Jacques D.
« C’est une poésie qui emporte loin et les photos sont de toute beauté, comme la composition du livre, véritable objet d’art.
La parenté avec Bonnard P. dont les peintures reproduisent tant les fenêtres me semble évidente… » Mme. Bernadette S.
« Je viens de lire ton livre d’une seule traite. Et je suis rempli d’émotion. C’est encore plus beau que ce que je m’imaginais. J’en connaissais le contenu, que tu nous adressais par vagues, tout au long de ce long printemps dernier. Mais d’avoir l’ensemble entre les mains donne à ton œuvre une force incomparable. La mise en page en est très réussie. J’apprécie que la numérotation des jours soit discrète, à peine visible. Et que les titres donnés à chaque fenêtre ne puissent être lus qu’au début et à la fin, au revers de la couverture. Cela permet à l’imagination du lecteur de pouvoir rêver plus librement. Je suis vraiment sous le charme. Un grand bravo à partager avec Frédéric. Sois fière d’en être l’auteure. » Jacques D.